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 Alice June Raven.

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Dana I. Campbell
Dana I. Campbell

Alice June Raven. _
MessageSujet: Alice June Raven.   Alice June Raven. EmptyLun 2 Aoû - 18:36

Alice Raven
Poste vacant du forum

« Tout oiseau aime à s'entendre chanter. »
Alice June Raven. Avtaylorswifthe19
© Faith [Obsession27]
    NOM •• Raven.
    PRÉNOM •• Alice, June.
    ÂGE •• Vingt-cinq ans.
    CONDITION •• Incroyablement riche.
    PARTI •• Parti Rebelle Désaxé.
    MÉTIER(S) / ÉTUDES •• Ex-mannequin ; hackeuse.

    AVATAR •• Taylor Swift.

    TAILLE •• 1m60.
    CORPULENCE •• Svelte.
    TRAITS DE CARACTÈRE •• Surdouée - Cynique - Mentaliste - Intelligente - Rusée - Polie - Distinguée - Discrète - Taciturne.
    TIC NERVEUX •• Tirer sur ses mèches de cheveux ; taper ses dents avec son ongle de pouce ; taper ses doigts sur la table.
    BUT •• ...
    PEUR(S) •• Qu'on découvre qu'elle est surdouée ; être attaquée par un gros molosse ; les lieux clos emplis de monde ; les descentes de polices punitives et meurtrières ; qu'il arrive quoi que ce soit à sa soeur.


« Les vieux péchés ont de longues ombres ... »
Agatha Christie.

Sans sa jumelle, Alice se serait sentie bien seule.
« Deux filles ? Que va-t-on faire de deux filles ? On ne peut pas s'en occuper ! »
« Les Raincraft ont eu, parait-il, une bonne gouvernante. Je peux tenter de la contacter. »
« Faites, ma chère, nous avons mieux à faire que de l'élevage. »


Alice June Raven est née un beau matin de Mai fleuri, dans une influente famille de l'Axe, qui ne connaissait que la prospérité et qui ignorait le sens du mot malchance. Les deux parents appartenaient à l'ONA, et sans nul doute le destin d'Alice était de l'intégrer aussi, quand elle en aurait l'âge. Confiée dès sa naissance à une gouvernante, cette dernière s'appliqua à inculquer à miss Raven le bien-fondé du mur séparant en deux la ville de Berlin II, et que l'homme politique connu sous le seul non hostile du Tyran était un brave homme qui ne voulait que le bien de son peuple. Alice aurait pu, seule, gober ça tout rond, et devenir une parfaite représentante de l'Axe. Sauf que voilà, Alice avait une soeur jumelle, Lisbeth, qui avait un caractère pour le moins opposé au sien. Critique, ironique, fielleuse, la jeune blonde ne voulait pas avaler tout cru la nourriture qu'on leur donnait, et chaque soir, discutait des leçons avec sa soeur. Tout ce que la gouvernante disait, Lisbeth le contredisait quelques heures plus tard, dans l'obscurité de leur chambre à coucher. C'est d'ailleurs dans cette même pièce que les deux jumelles concoctaient leurs plans de vengeances, car l'une comme l'autre finissaient par en avoir assez qu'on tente de les embrigader dans quelque chose qui ne leur correspondait pas du tout. Elles s'employèrent donc à faire renvoyer, une à une, les gouvernantes qui frappaient à leur porte, Alice soufflant quelques idées noires et Lisbeth les mettant en oeuvre dès le lendemain, en mixant à sa sauce pour rendre ça plus croustillant. La nouvelle fit le tour de la partie axée de la ville. Les deux Raven, surtout Lisbeth qui était la seule à agir au visu de tous, étaient deux effroyables gamines, et bientôt plus personne ne se présenta à la grande demeure familiale de monsieur du corbeau.



Sans sa jumelle, Alice aurait été le pigeon.
« Alors, tu nous les donne, ces réponses, ouais ? »
« Mais lâchez-moi ! »
« Les réponses d'abord, et après on te lâche ! »
« Lâche-la, gros con ! »


C'est à l'école qu'Alice se rendit compte qu'elle avait un problème, qu'elle était différente. Elle retenait les choses plus rapidement que les autres, pire encore, elle avait l'impression désagréable qu'elle savait déjà ce qu'on tentait de lui apprendre. Le fait qu'elle soit la tête pensante attitrée de la classe lui attirait pas mal de soucis. Des gens venaient l'embêter pour avoir les réponses aux exercices, parce qu'ils la pensaient faible et impressionnable. En un sens, ils n'avaient pas tout à fait tort, mais Lisbeth, elle, ne l'entendait pas de cette oreille, et agonissait d'injures ceux qui osaient s'en prendre à sa soeur jumelle, n'hésitant pas à en venir aux poings. Et rapidement, les pseudos caïds de l'école comprirent que les Raven étaient des joyaux intouchables. La première parce qu'elle s'activait plus vite que la moyenne et qu'elle semblait constamment revenir en arrière pour se mettre au niveau des autres, la deuxième parce qu'elle savait frapper pile là où ça fait mal et qu'elle pouvait se montrer aussi teigneuse qu'un âne bâté. C'est pendant des exercices spéciaux, proposés par un psychologue assermenté, que les deux corbeaux comprirent qu'elles avaient des particularités rares, recherchées du gouvernement, donc qu'il leur fallait à tout prix cacher. Lisbeth allait devoir cacher sa mémoire photographique, le fait que rien de ce qu'il se passe n'échappe à son regard acéré. Alice, elle, allait devoir cacher le fait qu'elle était une éveillée, une surdouée dont le quotient intellectuel frisait le 260 sans que cela ne lui pose le moindre problème, le fait qu'elle puisse analyser les gens d'un simple regard comme si elle lisait les pages d'un livre. Les deux filles se promirent de n'en parler à personne, et surtout pas à leurs parents, qui auraient tôt fait de les envoyer à l'ONA en tant que poupées de salon de la famille Raven.



Sans sa jumelle, Alice aurait fini poupée de porcelaine.
« Non ! Ca, je n'accepte pas ! Enlève-moi ces horreurs ! »
« Et si on aime, hein ? »
« Lisbeth ! Ca suffit de me tenir tête, enlève de suite ce déchet musical ! »
« Dans la mesure où il y a des accords et un rythme qui se tient, cela ne peut, à proprement parler, être dénommé comme déchet musical, puisque ... »
« Alice ! Tu ne vas pas t'y mettre aussi non ?! »


En général, c'était toujours pareil. Lisbeth découvrait quelque chose, le testait toute seule, et Alice, qui avait remarqué son changement depuis longtemps, finissait par lui poser des questions. Ce fut ainsi que la jeune Raven découvrit l'univers chamarré des punks, où sa soeur traînait depuis déjà quelques mois. Décidant de s'y essayer à son tour, elle abandonna rapidement le mode vestimentaire, qu'elle jugeait trop clinquant et ne lui allant pas du tout, mais tomba littéralement amoureuse de la musique. Bientôt, leur bibliothèque musicale fut bien remplie, passant de tous les groupes à tous les chanteurs, proposant aux initiés comme aux néophytes des centaines de pochettes colorées et attirantes, qui mirent leur père dans une colère monstrueuse, à laquelle les deux soeurs résistèrent sans le moindre souci. Lisbeth, vêtue comme une punk, attirait l'attention, et faisait jaser dans la haute cour. Seule Alice pouvait encore, selon le père, sauver la famille. C'était sans compter son irrémédiable solidarité envers sa jumelle, et l'envie forte, née du mouvement punk qu'elle suivait, d'emmerder ses parents qui lui avaient pourri la vie. Alors les aider ? Elle continua de s'habiller comme elle le voulait, sans aller jusqu'à la franche provocation ouverte comme le faisait Lisbeth, mais restait assez outrecuidante pour qu'on comprenne, en creusant un peu, qu'elle refusait de se laisser faire. Tous ceux qui tentèrent de les intimider, Lisbeth s'en occupa avec ses poings, en les menaçant de finir leur visage à coup de New Rocks s'ils revenaient. Tous ceux qui tentèrent de les faire insidieusement changer de bord, Alice s'en occupait avec son tact et sa ruse habituelle. Personne ne peut vaincre une surdouée qui a décidé qu'elle emmerderait le monde. Après les habits et la musique, Lisbeth, puis Alice, s'orientèrent vers l'autre côté du mur, et commencèrent à parler de manifestations pour protester contre le mur et la séparation de la ville. De quel droit des gens sont-ils envoyés chez les Désaxés comme Louis le Quatorzième envoyait ses prisonniers à la Bastille par des lettres de cachet ? Il est simple de penser ça, au chaud du côté des Axés. Car au fond, Alice ne savait pas si Lisbeth s'y intéressait vraiment, ou si c'était juste pour continuer de choquer le beau peuple. Mais elle, elle s'en fichait un peu et considérait qu'ainsi allait la vie. Personne, après tout, ne peut lutter contre le Tyran.



Sans sa jumelle, Alice serait devenue une parfaite salope.
« Nous vous inquiétez pas, monsieur Raven. Nous prendrons soin de votre fille. »
« Mais tu m'as prise pour quoi, pour ton clebs ?! »
« Alice, calme-toi, ça ira mieux quand tu ... »
« Rends-moi ma soeur, laquais servile fini à la pisse ! »
« Alice, ne me parle pas comme ça ! Je suis ton père, bon dieu ! »
« Toi, mon père ? Tu ne nous a jamais aimé ! Tout ce que tu voulais, c'était un garçon que tu aurais pu montrer au Tyran en te pavanant comme un paon devant une cuillère ! Et parce qu'on n'est pas comme Monseigneur Raven le décidait, tu décides de la foutre chez les Désaxés et de me placer dans un vulgaire centre de remaniement à la con ! Si je réussis à ne pas sortir ici les pieds devant, je ne veux plus jamais entendre parler de toi, ignoble sous-merde communiste qui partage un demi-neurone en commun avec tous ces connards de l'ONA ! »
« Ne vous inquiétez pas, monsieur Raven. Sa soeur jumelle a eu un très mauvais ascendant sur elle. Après quelques années dans notre centre, cette mauvaise influence disparaîtra bien vite, vous verrez. Elle en ressortira changée, et elle vous remerciera. »


Ce qui devait arriver arriva. Lisbeth, ayant passé son stade provocation, voulut passer à l'étape suivante, celle des manifestations pour protester contre la séparation de la ville en deux. Alice, hautement claustrophobe doublé d'agoraphobe, ne l'accompagna pas et se contenta d'écrire sur les bannières des messages bien sentis, puis de suivre en direct la manifestation à la télévision. Lisbeth en fit une. Deux. Trois. Quatre. Ne comptait pas s'arrêter en si bon chemin, car, disait-elle, elle avait enfin trouvé sa place dans ce monde, lutter pour l'égalité de tous. Alice, charmée, voulut l'accompagner. Mais à la dernière manifestation solitaire de Lisbeth, Alice devant participer au suivante, le Tyran décida qu'il en était assez, et fit virer tous les gens inclus dans la manif. Lisbeth, qui avait réussi à rentrer chez elle avant l'arrivée de la police, dut elle aussi plier bagage, car le Tyran en personne était venu au manoir Raven pour sommer les parents de dégager leurs anarchistes de filles. Les deux adultes, s'ils abandonnèrent sans peine Lisbeth à son funèbre sort, implorèrent la clémence du despote pour sauver Alice, arguant qu'elle n'avait pris part à aucune de ces odieuses manifestations, et que ses penchants disparaîtraient vite après un passage en centre de rééducation. Ce fut donc là qu'elle atterrit, séparée de sa soeur pour la première fois de sa vie. Si elle passa les trois premiers mois à insulter tous ceux qui tentaient de lui inculquer que le Tyran c'est le bien, elle finit par canaliser son hostilité dans d'autres activités. Elle prit part aux cours d'arts martiaux du centre, de même que ceux de musique et de peinture. Tout, mais ne pas penser à sa soeur. Elle refusa les cours de photographie, qui lui rappelaient trop la mémoire photographique de sa jumelle. Les infirmiers, les parents, tout le monde pensait avoir réussi à la faire virer de bord. Mais si elle se montrait méfiante envers toutes les activités qui auraient pu lui rappeler Lisbeth, jamais elle ne faillit à la mémoire de sa soeur, et, comme l'avait annoncé le médecin, changea radicalement. Alors qu'elle pensait autrefois que personne ne pouvait lutter contre le Tyran, elle était maintenant animée d'une envie de faire péter les ponts pour que cesse cette injustice. Ce ne fut que quand elle toucha à un ordinateur qu'elle comprit également qu'elle avait trouvé sa place dans le monde, en tant que hackeuse. Quand elle sortit du centre de rééducation, ses parents la pensaient guérie. Mais elle n'avait pas changé, elle était peut-être même devenue pire. Et maintenant, une seule chose lui importait, dut-elle briser les apparences. Retrouver l'autre moitié de son âme, sa sœur jumelle.



Sans sa jumelle, Alice n'aurait pas mal tourné.
« C'est à cause de vous que je suis dans cette merde ! Alors maintenant vous allez m'aider ! »
« Lisbeth, pose ton arme ... »
« La ferme, foutue génitrice ! Ferme-la et aide-moi ! »
« On t'aidera si ... »
« Si quoi ?! Genre, mon père voudrait, maintenant, me donner des ordres, alors qu'il a pas été foutu de m'éduquer convenablement ?! »
« Pose ton arme, Lisbeth. »
« A … Alice ?! »
« Alors quoi ? Tu menaces ton père, ta mère, et maintenant ta soeur ? Va-y, tire. Tu me décevras beaucoup, vu les belles années qu'on a passé ensemble. Mais si t'as été envoyé de l'autre côté, tu dois mériter ce qu'il t'arrive, et tu dois pas valoir mieux qu'eux. Alors ? Tu tires, ou tu te dégonfles ? »
« ... »
« Je vais te la recoller, ta jambe. Je te paye l'opération, je ne te dénonce pas, et tu disparais de nos vies. »


Sortie du centre de redressement, Alice, devenue une vraie rebelle, cacha le nouveau trait prononcé de sa personnalité pour se fondre dans la masse Axée, et fut rapidement repérée par une boîte de mannequinat. Devenant, de fait, mannequin, elle gagnait convenablement son salaire, et n'était plus suspectée comme une éventuelle terroriste. Car entre-temps, elle avait entendu dire que sa soeur, de l'autre côté du mur, s'était rassemblée, avec d'autres gens, pour créer un groupe terroriste de petite ampleur, qui gênait quand même le gouvernement. De son côté, la jeune mannequin ne cherchait qu'à recontacter sa soeur, discrètement et sûrement, dans de plus brefs délais. Elle y parvint trois mois après sa sortie du centre, chez ses parents. D'ailleurs, elle avait tenu sa promesse, et avait catégoriquement refusé de revoir ses géniteurs, ne daignant pas répondre à leurs lettre ou leurs coups de fil, les laissant même poireauter dehors quand ils se présentaient à sa porte. Ce soir-là, donc, Alice avait senti qu'il se passait quelque chose de douloureux pour sa soeur, et avait quitté sa maison pour s'approcher du mur, ayant la ferme intention de le franchir. Quand elle vit le trou percé à la dynamite, et le sang sur les briques tombées, elle se précipita chez ses parents en espérant que sa jumelle y serait. Elle y était, les menaçant avec une arme à feu. Alice lui fit face avec froideur et dédain, pour lui signifier qu'elle n'était pas la bienvenue ici. Sa jumelle, avec une jambe en moins, faisait vraiment peine à voir, et Alice luttait contre l'envie de lui sauter au cou, comme si les années n'étaient pas passées. Elle l'amena directement à l'hôpital pour payer une nouvelle jambe à sa soeur, n'hésitant pas à payer les plus chères, puis elle la ramena chez elle, et là, elles purent enfin discuter de toutes les années passées. Alice raconta tout à sa soeur, et Lisbeth raconta tout à Alice. Les années passées à dealer de la drogue, à voler et à se cacher, à économiser pour se payer un appartement. Or, si Lisbeth avait les idées, Alice avait les moyens. Et après avoir esquivé les réticences de sa jumelle, elles fondèrent ensemble le PRD. Régulièrement, Alice envoyait de l'argent à sa soeur, qui l'utilisait pour payer son loyer et financer le PRD. Elles purent acheter à bas prix un bar, et Alice, ayant un goût très prononcé pour l'esthétique, le redécora à ses frais, en profitant pour le truffer de systèmes de protection ultra pointus. Les deux soeurs se sentaient invulnérables. Invincibles. Rien ni personne ne pouvait les arrêter, désormais.



Sans sa jumelle, Alice n'aurait pas été expulsée avec pertes et fracas.
« C'est une honte, Alice ! Une véritable honte ! »
« Va-y, frappe moi, Johnson, les merdes dans ton genre savent faire que ça. »
« Mais je vais te ... »
« Touche pas ma soeur, fils de pute ! »
« La ferme, espèce de Désaxée ! »
« Si être désaxée signifie avoir son libre-arbitre, je suis fière de l'être ! »
« Et donc je le fus toujours de coeur, pour ma part. »
« La ferme, vous deux ! Vous devriez avoir honte ! »
« De quoi ?! De me battre contre les raclures de ton espèce, qui pensent que tout leur est du parce qu'ils sont nés du bon côté ? De quel droit des gens sont-ils envoyés de l'autre côté ? »
« Personnellement, je n'ai pas honte. Je suis restée fidèle à mon mode de vie, je suis allée sauver ma soeur au péril de ma vie, et si tu veux tout savoir, clébard, c'est moi qui finançait le PRD. Et tu vas faire quoi maintenant, me tuer ? »
« Espèce de sale traînée ! »


Non contente de financer allègrement le PRD, Alice se servait de ses contacts dans le mannequinat pour espionner l'ONA. Elle aurait pu entrer directement dans cette organisation, mais sa fierté le lui en empêchait. Avec une grande discrétion, et un plaisir extrême, elle envoyait de plus en plus d'argent au PRD, et avec son amour immodéré pour les ordinateurs, elle s'était même mise à hacker les comptes des particuliers sans que les banques concernées ne s'en aperçoivent. Malheureusement, tout changea brusquement, sans que les deux Raven n'aient eu le temps de s'en apercevoir. La police planifia une attaque surprise chez les Désaxé et réussirent à capturer plusieurs membres du PRD, dont sa meneuse, Lisbeth. Conduite au QG de l'ONA, elle fut rudement interrogée, menacée, frappée, mais elle refusa de donner le nom de celui qui lui donnait de l'argent. Alice, dès qu'elle fut mise au courant que sa soeur avait été capturée, mit tout en place pour réussir à entrer dans les locaux de l'ONA, et y parvint avec brio. Un joli sourire, la promesse de représenter l'ONA à la télévision, cela ouvre beaucoup de portes quand on est une demoiselle pulpeuse, et, pensaient-ils, l'opposé de la punk meneuse du PRD. Une fois sur les lieux, Alice se mit en mouvement pour retrouver sa jumelle, prisonnière quelque part là-dedans. Elle la chercha pendant une semaine, avant de saisir l'information au vol en écoutant, de loin, une conversation. Et ce qu'elle entendit ne lui plut pas. Sa jumelle était enfermée, sans eau ni nourriture, depuis bien une semaine, dans un endroit sombre et humide dont elle connaissait à présent l'emplacement exact. Elle s'y rendit donc avec discrétion, et libéra sa jumelle de ses liens en la faisant taire à chaque fois que cette dernière tentait de prendre la parole. Après avoir bien bataillé sur les menottes dernier cri, Alice et Lisbeth sortirent du simili cachot, et tentèrent de quitter discrètement le QG. Raté, à croire que tout le monde les attendaient. Matthew Riley, le ministre du Tyran, accompagné d'Alexander Johnson, vulgairement surnommé le clébard du Tyran, et d'un groupe d'Axés de l'ONA qui les fixaient avec hostilité. Elles furent vite entourées, mais cette fois-ci, ce fut sur Alice que Johnson se concentra, lui posant des questions pointues qu'elle esquivait avec froideur, n'hésitant pas à la frapper quand son regard se faisait trop méprisant, ce qui faisait hurler de rage la Désaxée, solidement retenue par un groupe d'Axés qui n'en menaient pas large. Finalement, pour que l'ONA relâche sa soeur, Alice cracha avec un trait de moquerie non contenue que c'était elle qui, depuis le début, finançait le PRD et lui filait des informations. De rage, le cabot du Tyran faillit la frapper, mais les gardes qui retenaient Lisbeth ayant relâché leur attention, cette dernière en profita pour se dégager et sauter sur Alexander pour lui décocher un coup de poing furieux dans la tempe. Ce dernier s'écroula au sol, et les deux filles fut rapidement cernées par la foule de l'ONA prête à les lyncher. Mais Riley s'interposa entre les deux, et décréta qu'Alice serait envoyé du côté des Désaxés, puisqu'elle les aimait tant. La jeune mannequin perdit donc toutes ses attaches matérielles côté Axe, et s'en fut chez les Désaxés. Et malgré l'interdiction formelle du gouvernement qu'elle emmerdait éperdument, elle repassa par son ancienne maison pour récupérer toutes ses propriétés, intégralement, en plus de son chien et de son chat, qui aménagèrent dans la maison de sa jumelle, chez qui elle s'installait. Enfin, elle fit, officiellement cette fois-ci, son entrée dans le PRD, en tant que source de financement. Car en effet, la jeune surdouée sait toujours hacker les comptes en banque des particuliers … Et à présent, cela lui devenait d'une importance vitale, autant pour le parti que pour la survie de sa famille, à savoir sa soeur, son chien et celui de sa soeur, et son petit félin.


Sans sa jumelle, Alice serait restée Axée.
Sans sa jumelle, Alice serait riche et influente.
Mais sans sa jumelle, Alice n'aurait jamais connu le bonheur.
Car sans sa jumelle, Alice ne serait pas Alice.

« Avoir beaucoup d'amis, c'est n'avoir point d'amis. »
Aristote.
Alice June Raven. Icontaylorswiftb6
© Faith [Obsession27]
PUF •• Champi.
PRÉNOM •• Sandra.
ÂGE •• 19.
BONS POINTS DU FORUM •• La fondatrice, bien sûr.
MAUVAIS POINTS •• L'inactivité.
DÉCOUVERTE DU FORUM •• Par la fonda. VIP mes cocos.
COULEUR DE VOS CHAUSSURES •• ...
AUTRE •• Je bouffe ceux qui embêtent ma Momo.
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Alice June Raven.

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